3 façons de t’autosaboter qui te font croire que tu n’as pas d’inspiration (alors qu’en fait, tu déchires)

Ça t’est déjà arrivé de penser que tu as une angine, et une fois arrivée chez le médecin, il t’annonce qu’en réalité c’est une grippe ?

Ça peut arriver que les médecins se trompent. Mais là dans l’histoire on va imaginer qu’il a raison. Dans ce cas, tu as fait un faux auto-diagnostique à ton sujet. Y a pas que pour ta santé que ça peut arriver. Dans ta communication aussi !

Par exemple : tu identifies un problème que tu as avec ta création de contenus. Tu te dis « J’ai pas d’inspiration, c’est vraiment la cata ! ». Ben si ça se trouve, ton inspiration se porte très bien… Alors, qu’est-ce qui coince ? Parce que tu vois bien que tu n’arrives pas à créer tes contenus… Tu as des idées, mais à chaque fois ça part en live et tu te retrouves au point de départ.

J’ai bien ma petite idée. Le coupable, c’est certainement l’autosabotage ! Je vais te présenter 3 façons de t’autosaboter, qui te font perdre confiance en toi, et qui te font croire que tu n’as pas d’inspiration. -> quand on a un problème, c’est mieux de l’attaquer par le bon bout ! Autant faire la lumière sur toute cette histoire 🤔

Rassure-toi, il y a des solutions pour remédier à ça. La toute première étape que je te prescris, c’est déjà de lire cet article^^. C’est parti !

1 / Tes recherches de sujets sont peu concluantes

Comme tous les lundis, tu te poses devant ton ordi pour réfléchir à ce que tu aimerais partager sur ton compte Insta. Au départ tu es (plus ou moins) motivée, mais rien n’est certain pour la suite.

Car le contexte n’est pas hyper stimulant… Tu as l’impression de fonctionner en flux tendu.. c’est réellement ce que tu fais en fait ! 🥵

Tu n’as aucun contenu d’avance, tu ne sais pas vraiment quels sont tes sujets phares, tout est à recommencer chaque semaine, pour la semaine-même. Tu ressens donc très facilement la pression du « il faut que je trouve quelque chose à dire cette semaine sinon je vais encore avoir un trou dans mon planning ».

Chaque lundi, tu te reposes les mêmes questions. Tu tentes de redéfinir tes sujets. C’est comme si tu réinventais éternellement la roue, rien que pour trouver des idées.

C’est énergivore et peu efficace. Pas motivant. Comme je te comprends !

Du coup, un coup sur deux tu te retrouves à procrastiner en scrollant apathiquement sur Insta… à moins que tu aies opté pour des vidéos de chats vraiment hilarants qui passent l’aspirateur en se dressant sur leurs deux petites pattes arrières. 🙈

Si tu te retrouves dans cette description et que tu crois ne pas avoir d’inspiration, je parie que tu te trompes sur ton compte ! C’est surtout ton process de création de contenus, notamment ta recherche d’idées, qui n’est pas concluant.

 

👉 Ça serait beaucoup plus pratique que tu réfléchisses à tes thématiques une bonne fois pour toutes. Que tu dresses par écrit une liste de tes sujets phares, et des idées pour les décliner.

Cette liste peut évoluer dans le temps, être remise en question 6 mois ou 1 an plus tard par exemple. Une fois que c’est l’heure d’écrire, tu as une source d’inspiration toute prête pour créer un contenu nouveau, original et pertinent, le tout en gardant une cohérence dans ton message d’une semaine sur l’autre.

Je peux t’aider à faire ça avec mon programme Digital Dharma (entre autres !).

L’idée, c’est de construire des fondations pour ton process de création de contenus. Afin de prendre soin de ton énergie, d’avoir une vision claire sur où tu vas avec ta communication, et de te mettre à écrire avec fluidité !

2 / Tu as toujours une raison pour changer d’avis

Il y a toujours quelque chose qui te fait changer d’avis sur le sujet à choisir pour ton prochain contenu. Globalement, ça se traduit par le fait que tu t’engages sur un sujet, puis tu doutes et tu recherches un autre sujet qui serait mieux, parce que patati patata… et ainsi de suite.

Ça peut s’exprimer de 3 façons différentes.

1 / Tu te persuades toi-même que ton idée ne conviendra pas à tes lecteurs

Pour commencer, tu te dis que ça serait sympa de faire un carrousel sur les blocages qu’on peut vivre en lien avec le 6e chakra. Oh et puis non… est-ce que c’est vraiment une bonne idée, ça ? Si ça se trouve, ils ne résonnent peut-être pas avec l’énergie de ce chakra, alors ça servirait à rien de faire un contenu sur ça.. 🤷‍♀️ Ou peut-être qu’ils vont trouver ça barbant. A quoi bon, dans ce cas ?

Mieux vaut trouver autre chose à partager…

 

👉 Ce qu’il se passe ici, c’est qu’au lieu de créer ton contenu et de voir ce que tes lecteurs en pensent vraiment, tu penses à leur place. Tu te fais tout le film dans ta tête, jusqu’au générique de fin avec la musique, les sponsors, et tout… Et c’est sur ça que tu te bases pour décider que ton sujet n’est pas assez bien.

Sauf qu’en fait si t’essaies pas pour de vrai, tu pourras jamais savoir…

2 / Tu as peur de ne pas assez en dire

Tu commences à faire un plan, à noter tes idées, à rédiger quelques paragraphes. Chemin faisant, tu commences à t’interroger.. Et si tu n’en disais pas assez ? Et si ton sujet n’était pas exploité comme il le mérite ? Et si les gens trouvaient ça creux ?

Du coup, tu as l’impression que tu dois te lancer dans des recherches complémentaires pour étoffer tout ça. Ce qui revient à plus de travail, et plus d’efforts, pour combler une sensation de « pas assez ».

Peut-être qu’un autre sujet plus riche, ça serait mieux ?

 

Rien de problématique à faire des recherches documentaires pour ta création de contenu. Mais parfois, tu te sens obligée d’en faire juste pour te rassurer, parce que tu doutes de tes capacités à bien couvrir ce sujet par toi-même. Et tu te rends la création de contenu plus pénible au passage.

👉 Et si tes exigences étaient un peu trop hautes par rapport aux réelles attentes des gens ? Souvent, échanger directement avec eux, faire une mini enquête, te baser sur tes séances clients, c’est très utile pour voir où en sont les gens au niveau de leurs attentes et de leurs connaissances. 😊

Je te garantis que la plupart du temps, les créateurs et créatrices de contenus ont plutôt tendance à rester dans leur jargon et à être trop techniques pour leur audience (déformation professionnelle^^).

Le vrai problème, c’est pas que tes sujets ne sont pas assez riches, ou que tu n’as pas assez d’inspiration. C’est les attentes que tu as vis-à-vis de toi-même.

 

Donc… base-toi sur la réalité du terrain.

3 / Tu as peur de trop en dire, et que ça risque de cannibaliser tes offres

Alors là ça y est, tu crées du contenu, tu crées du contenu, ça y va… pas de souci pour trouver des choses à dire. Ouais, mais… justement, c’est peut-être ça le problème ?

Et si t’en disais trop, sur ce coup-là ? 😨

Et si ça cannibalisait tes offres ? Et si les gens savaient tout ce qu’ils avaient envie de savoir, et que ça leur passait l’envie de s’inscrire à ta formation ? Publier tout ça, ça reviendrait donc à te tirer une balle dans le pied.

Faut changer de sujet alors… trouver quelque chose de plus sécurisé pour tes services…

 

👉 Mais non, tu n’as pas besoin de changer de sujet. 🤗 🤗 C’est ok d’être généreuse. Et au pire, dis-en moins… mais ça ne mérite pas que tu remettes tout en question pour changer d’idée.

 

Le fait de changer de sujet et de douter de toi fait plus de mal à ta communication que le fait de « trop en dire ». Au lieu de décider une chose, de t’y tenir, d’aller au bout et de produire des contenus, tu t’autocensures. A force de faire ça, tu auras de plus en plus de mal à laisser les idées venir à toi. Tu seras d’accord avec moi : un contenu qui en dit trop est beaucoup moins problématique que pas de contenu du tout.

De toute façon… A moins que tu n’aies copié collé le contenu intégral de tes accompagnements, je doute que tes ventes souffrent d’un contenu généreux. Et encore, si tu as une dimension humaine dans tes services, comme des séances individuelles ou de groupe, c’est quelque chose que tes contenus ne peuvent pas remplacer.

La peur de trop en dire n’est pas bonne à écouter. Elle est là pour te protéger. Mais elle finit surtout par te faire t’autosaboter.

3 / Tu dévalorises ta façon d’écrire

On est mardi après-midi et tu es en plein dans la rédaction d’un mini cours pour ta communauté. Après 1 page d’écriture, et déjà quelques relectures, corrections et révisions, un sentiment de déception s’installe en toi. Physiquement, tu te sens tirée vers le bas.

Tu n’es pas satisfaite de ce que tu es en train d’écrire. Ce n’est pas assez percutant. Pas assez transformateur. 😔 Ça n’embarque pas le lecteur. Et pis si ça se trouve, c’est pas clair en plus. Tu résumes un peu le tout en pensant « Mouais… c’est pas fameux… rien d’extraordinaire… ». Plus rien ne bouge dans la pièce. Il n’y a plus que le curseur de ton doc Word qui clignote, attendant tes instructions… qui ne viendront pas…

Que tu sois formée ou pas à des techniques de rédaction ne peut rien changer à ça. Tes connaissances en rédaction te servent plutôt à te critiquer avec plus de précision, plutôt qu’à créer les contenus que tu voudrais…

👉 Tu pourrais laisser tomber la rédaction de ce mini cours, et conclure que tu n’as pas d’inspiration, pas d’idées. Mais là, tu es dans l’illusion. Au fond, c’est toi qui n’arrives pas à être satisfaite de ce que tu produis, ça n’a rien à voir avec ton inspiration.

Quelques conséquences (et solutions) à ces comportements (souvent) inconscients :

Réinventer la roue sans cesse, te dévaloriser, changer de sujet pour un oui pour un non… tout ça, c’est souvent des comportements inconscients.

C’est le signe que tu n’as pas de repères pour savoir quand c’est assez. Quand c’est dans le cadre, ou quand ça le dépasse. Que tu cherches à te rassurer, à être dans le sujet parfait, le texte parfait.

Les conséquences de tout ça, c’est que :

🔸 Tu ne commences même pas à écrire
🔸 Tu abandonnes en pleine rédaction, pour recommencer autre chose de zéro
🔸 Tu procrastines
🔸 Tu ne partages pas ce que tu avais pourtant créé et terminé
🔸 Tu finis par croire que tu manques d’inspiration

 

Ton inspiration n’est pas du tout le problème ici ! Tu finis par croire que tu en manques, car ton autosabotage met en échec tout ce que tu entreprends, parfois quand tu en es encore au stade de la réflexion. 😮

A terme, ton inspiration se retrouve réellement bloquée, car ces expériences répétées te coupent de tes idées. Ta part créative n’ose plus s’exprimer, tellement elle se fait rabattre le caquet !

 

Mais ça peut tout à fait revenir. Pour ça, il faut que tu adoptes une méthodo adaptée. J’ai un accompagnement qui peut t’aider en ce sens.

Tu as peut-être aussi besoin de faire les libérations émotionnelles et énergétiques pour retrouver plus de bienveillance envers toi lorsque tu es dans une activité créative pour ton business. Là aussi, je peux t’apporter mon soutien via un forfait de coaching personnalisé, si tu le souhaites.

⭐⭐ Après avoir mis ces solutions en place, tu seras en mesure de retrouver ta créativité, et de créer tes contenus avec beaucoup plus de clarté, de légèreté, et de fun !

Tu peux obtenir plus d’infos sur l’un de ces accompagnements, et recevoir un premier feedback de ma part en t’inscrivant ici.

En résumé, si tu penses ne pas avoir d’inspiration pour créer des contenus pour ta communication, tu es peut-être victime d’un autosabotage inconscient. Certaines habitudes et comportements peuvent te pousser à conclure que tu n’as aucune idée valable, que tes écrits ne sont pas assez inspirants, alors que ce n’est pas du tout le cas !

La répétition de ces expériences d’autocensure peut finir par te couper de ton inspiration. Heureusement, ce n’est pas définitif, et il existe des solutions stratégiques et énergétiques pour s’en sortir. C’est toujours possible de retrouver une belle énergie dans ta création de contenus !

Trouve des idées pertinentes pour tes contenus toute l’année avec ce workbook offert

 (extrait de mon programme Digital Dharma)

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Je suis Mélina,

Fondatrice de Guiding PathWord, consultante et coach pour les entrepreneures à impact positif déterminées à aller au prochain niveau dans leur communication sur le web, tout en étant authentiques et audacieuses.

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